Autonome Busse kämpfen mit Kinderkrankheiten

Source : L’essentiel

LUXEMBURG – Die selbstfahrenden Busse, die seit einigen Monaten im Großherzogtum verkehren, sind bei den Fahrgästen ein voller Erfolg. Dennoch gibt es Probleme.

Die beiden autonom fahrenden Shuttle-Busse im Pfaffenthal bekommen einen neuen «Kollegen».

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Les navettes encore dans une phase d’adaptation

Source : L’essentiel

LUXEMBOURG – Les réglages s’affinent sur les petits bus sans chauffeur, dont le développement se poursuit. Un nouveau projet sera développé prochainement.

Un troisième projet de navette autonome sera déployé dans le pays en ce début d’année, indique à L’essentiel l’opérateur Sales-Lentz.

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Om ti år behøver man ikke have sin egen bil i Danmark

Source: Uden Hænder

Date: 13.12.2018

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Newspaper: Premiers minibus autonomes au Luxembourg

Source: Lëtzebuerger Gemengen

Date: 01.12.2018

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Autonomous Driving in 2018: The Road so Far

Source: Beast Magazine Luxembourg #12/2018

A longtime dream that is about to come true: autonomous – and therefore driverless – cars have been fascinating the professionals of the automative sector, digital and IT experts but also people in general who will one day finally be able to “sit down”, relax and enjoy the ride”, BEAST decided to take a look at the latest developments and selected the key dates of 2018, highlighting the great promises of autonomous driving.

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DEUX NAVYA À DÉCINES

Source: Nouveau Lyon | novembre 2018

Après le quai Rambaud à la Confluence, deux nouveaux véhicules autonomes vont être mis en fonctionnement dans l’agglomération.

Dès le printemps 2019, les deux Navya participeront à une expérimentation entre l’arrêt du T3 Décines/Grand-Large et le stade de l’OL. “La circulation sur la voirie aux côtés des voitures, le franchissement d’un carrefour à feux tricolores et de ronds-points constituent un véritable challenge”, rappelle dans un communiqué le Sytral, acteur de cette initiative avec Keolis. L’expérience s’inscrit dans le cadre du projet européen AVENUE (Autonomous Vehicles to Evolve to New Urban Experience) qui ambitionne de faire de l’Europe le leader mondial de la navette autonome.

Deux navettes autonomes desserviront le stade

Source: LE MONITEUR | 22 au 28 novembre 2018

Pilote du projet européen Avenue-Autonomous vehicles to evolve to a new urban experience – qui vise à préparer l’intégration technique, législative et économique des véhicules autonomes dans l’espace urbain et périurbain, Lyon va se doter de deux nouvelles navettes.

Après celle mise en service dans le quartier Confluence en 2016, le syndicat mixte des transports pour le Rhône et l’agglomération lyonnaise (Sytral) fera circuler au printemps 2019, ces véhicules de transport collectif entre l’arrêt du tramway T3 de Décines Grand Large et le Groupama Stadium. Ces deux navettes autonomes rouleront sur la voie publique, aux côtés des voitures, et devront franchir un carrefour avec feux tricolores et des ronds-points. Elles parcourront ainsi un trajet de 1,2 km.

Premier minibus sans chauffeur au Luxembourg

Source : Luxemburger Wort

Sales-Lentz a réalisé l’annonce la plus spectaculaire, jeudi lors de l’Automotive Day, en présentant sa première navette sans chauffeur. Elle sera sur la route pour la semaine de la mobilité, en septembre

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Des navettes Navya au Groupama Stadium

Source: Tribune de Lyon | 22 au 28 novembre 2018

Comme nous l’annoncions en août, le Sytral va se servir de navettes auto- nomes Navya pour desservir le Groupama Stadium. Dans le cadre du projet européen « Avenue », deux navettes circuleront dès le printemps entre l’arrêt de T3 Décines Grand Large et le stade. Un défi technique puisque les navettes rouleront sur la voirie aux côtés des voitures. Dans le même temps, une expérimentation du même ordre se déroulera à Meyzieu sur la ZAC des Gaulnes. 

Keolis mise sur l’auto partagée autonome

Source: Le progrès | 14 novembre 2018

Jean-Pierre Farandou, président de Keolis, estime qu’aux côtés des métros et tramways, l’avenir est aussi aux robots-taxis. Une étude réalisée à Lyon le confirme.

Président de Keolis, qui exploite notamment le réseau TCL, Jean- Pierre Farandou préside parallèlement depuis cette année la fondation du centre Jacques-Cartier France. Il a passé deux jours à Lyon à l’occasion des entretiens du même nom.

L’occasion de débattre de la mobilité de demain et de présenter les solutions que son groupe, qui se développe à l’international, compte apporter dans le futur. Keolis, qui est un des leaders mondiaux des métros automatiques leur prédit un bel avenir, tout comme aux tramways et bus à haut niveau de service. Ils répondent à la massification du transit.

Pas de date avancée

Mais à leurs côtés, Jean-Pierre Faran- dou voit émerger fortement le véhicule autonome partagé et électrique. Un robot taxi, donc sans conducteur, qui assurerait un transport à la demande à faible coût: ce véhicule prendrait le passager près de son lieu de départ pour le déposer à proximité de son lieu d’arrivée pour l’équivalent aujourd’hui d’environ 3 €. Des logiciels existent déjà pour regrouper les voyageurs souhaitant effectuer un même parcours.

Le groupe, filiale de la SNCF, a pris une participation dans le concepteur de l’un d’eux. Comme il s’est engagé au sein de la société Navya qui fa- brique la navette électrique auto- nome, testée pour la première fois au monde sur le site de la Confluence.

Keolis a réalisé au printemps dernier une étude sur l’impact qu’aurait dans l’agglomération lyonnaise la mise en place d’une flotte de 2 000 à 3 000 robots-taxis. Ceux-ci assureraient 25 % des déplacements, soit sensiblement autant que le réseau de transports en commun classique.

Le réseau de bus perdrait un peu de fréquentation, mais c’est surtout la voiture individuelle qui verrait son utilisation fortement reculer. C’est ce que souhaite aujourd’hui la quasi-totalité des autorités des grandes agglomérations. À quelle échéance ce scénario pourrait-il voir le jour? La prudence est de mise, mais Jean-Pierre Farandou explique qu’un groupe comme Keolis compte jouer de ses atouts comme la connaissance des territoires face aux Google et Uber qui travaillent aussi sur ces projets. ■