DEUX NAVYA À DÉCINES

Source: Nouveau Lyon | novembre 2018

Après le quai Rambaud à la Confluence, deux nouveaux véhicules autonomes vont être mis en fonctionnement dans l’agglomération.

Dès le printemps 2019, les deux Navya participeront à une expérimentation entre l’arrêt du T3 Décines/Grand-Large et le stade de l’OL. “La circulation sur la voirie aux côtés des voitures, le franchissement d’un carrefour à feux tricolores et de ronds-points constituent un véritable challenge”, rappelle dans un communiqué le Sytral, acteur de cette initiative avec Keolis. L’expérience s’inscrit dans le cadre du projet européen AVENUE (Autonomous Vehicles to Evolve to New Urban Experience) qui ambitionne de faire de l’Europe le leader mondial de la navette autonome.

Deux navettes autonomes desserviront le stade

Source: LE MONITEUR | 22 au 28 novembre 2018

Pilote du projet européen Avenue-Autonomous vehicles to evolve to a new urban experience – qui vise à préparer l’intégration technique, législative et économique des véhicules autonomes dans l’espace urbain et périurbain, Lyon va se doter de deux nouvelles navettes.

Après celle mise en service dans le quartier Confluence en 2016, le syndicat mixte des transports pour le Rhône et l’agglomération lyonnaise (Sytral) fera circuler au printemps 2019, ces véhicules de transport collectif entre l’arrêt du tramway T3 de Décines Grand Large et le Groupama Stadium. Ces deux navettes autonomes rouleront sur la voie publique, aux côtés des voitures, et devront franchir un carrefour avec feux tricolores et des ronds-points. Elles parcourront ainsi un trajet de 1,2 km.

Des navettes Navya au Groupama Stadium

Source: Tribune de Lyon | 22 au 28 novembre 2018

Comme nous l’annoncions en août, le Sytral va se servir de navettes auto- nomes Navya pour desservir le Groupama Stadium. Dans le cadre du projet européen « Avenue », deux navettes circuleront dès le printemps entre l’arrêt de T3 Décines Grand Large et le stade. Un défi technique puisque les navettes rouleront sur la voirie aux côtés des voitures. Dans le même temps, une expérimentation du même ordre se déroulera à Meyzieu sur la ZAC des Gaulnes. 

Keolis mise sur l’auto partagée autonome

Source: Le progrès | 14 novembre 2018

Jean-Pierre Farandou, président de Keolis, estime qu’aux côtés des métros et tramways, l’avenir est aussi aux robots-taxis. Une étude réalisée à Lyon le confirme.

Président de Keolis, qui exploite notamment le réseau TCL, Jean- Pierre Farandou préside parallèlement depuis cette année la fondation du centre Jacques-Cartier France. Il a passé deux jours à Lyon à l’occasion des entretiens du même nom.

L’occasion de débattre de la mobilité de demain et de présenter les solutions que son groupe, qui se développe à l’international, compte apporter dans le futur. Keolis, qui est un des leaders mondiaux des métros automatiques leur prédit un bel avenir, tout comme aux tramways et bus à haut niveau de service. Ils répondent à la massification du transit.

Pas de date avancée

Mais à leurs côtés, Jean-Pierre Faran- dou voit émerger fortement le véhicule autonome partagé et électrique. Un robot taxi, donc sans conducteur, qui assurerait un transport à la demande à faible coût: ce véhicule prendrait le passager près de son lieu de départ pour le déposer à proximité de son lieu d’arrivée pour l’équivalent aujourd’hui d’environ 3 €. Des logiciels existent déjà pour regrouper les voyageurs souhaitant effectuer un même parcours.

Le groupe, filiale de la SNCF, a pris une participation dans le concepteur de l’un d’eux. Comme il s’est engagé au sein de la société Navya qui fa- brique la navette électrique auto- nome, testée pour la première fois au monde sur le site de la Confluence.

Keolis a réalisé au printemps dernier une étude sur l’impact qu’aurait dans l’agglomération lyonnaise la mise en place d’une flotte de 2 000 à 3 000 robots-taxis. Ceux-ci assureraient 25 % des déplacements, soit sensiblement autant que le réseau de transports en commun classique.

Le réseau de bus perdrait un peu de fréquentation, mais c’est surtout la voiture individuelle qui verrait son utilisation fortement reculer. C’est ce que souhaite aujourd’hui la quasi-totalité des autorités des grandes agglomérations. À quelle échéance ce scénario pourrait-il voir le jour? La prudence est de mise, mais Jean-Pierre Farandou explique qu’un groupe comme Keolis compte jouer de ses atouts comme la connaissance des territoires face aux Google et Uber qui travaillent aussi sur ces projets. ■

Deux navettes autonomes en trafic réel prêtes à démarrer à Lyon

Source: Ville Rail & | 13 NOV 2018

Le Sytral et Keolis vont lancer une nouvelle expérimentation de la navette autonome Navya sur 1,2 kilomètre entre la station Grand-Large du tramway T3 et le Groupama-Stadium à Décines. L’opération prévue au printemps prochain ne va pas desservir le stade aux périodes d’affluence mais va tester en heures creuses l’intégration de Navya dans la circulation du «dernier kilomètre», au côté des voitures, avec un carrefour à feux tricolores et des ronds-points: «un véritable challenge pour le déploiement des navettes autonomes électriques qui fait de Lyon une ville pilote», a souligné Fouziya Bouzerda, présidente du Sytral. C’est une nouvelle étape par rapport à la navette expérimentée à l’écart du trafic depuis 2016 dans le quartier Confluence. Avec plus de 40 000 voyageurs au compteur, celle-ci va se poursuivre en misant sur une évolution réglementaire: Pascal Jacquesson, directeur de Keolis Lyon, imagine ainsi de transférer l’agent accompagnateur du véhicule vers l’extérieur permettant d’assurer la sécurité globale du parcours. Sur T3-Stadium, outre son nouvel environnement, Navya devrait aussi adopter quelques nouveautés, notamment une vitesse accrue (à 25 km/h) et un service à la demande pour les passagers des activités tertiaires du stade. L’expérimentation de Lyon fait partie des villes pilotes (avec Genève, Luxembourg, Copenhague) du projet européen Avenue (Autonomous vehicles to evolve to new urban experience) qui vise à préparer l’intégration technique, économique et réglementaire des véhicules autonomes en milieu urbain et périurbain. Le programme bénéficie d’un budget de 20 millions d’euros sur quatre ans.

Deux navettes autonomes en trafic réel prêtes à démarrer à Lyon

Source: Ville, Rail et Transports

Le Sytral et Keolis vont lancer une nouvelle expérimentation de la navette autonome Navyasur 1,2 kilomètre entre la station Grand-Large du tramway T3 et le Groupama-Stadium à Décines. L’opération prévue au printemps prochain ne va pas desservir le stade aux périodes d’affluence mais va tester en heures creuses l’intégration de Navya dans la circulation du « dernier kilomètre », au côté des voitures, avec un carrefour à feux tricolores et des ronds-points : « un véritable challenge pour le déploiement des navettes autonomes électriques qui fait de Lyon une ville pilote », a souligné Fouziya Bouzerda, présidente du Sytral. C’est une nouvelle étape par rapport à la navette expérimentée à l’écart du trafic depuis 2016 dans le quartier Confluence. Avec plus de 40 000 voyageurs au compteur, celle-ci va se poursuivre en misant sur une évolution réglementaire :Pascal Jacquesson, directeur de Keolis Lyon, imagine ainsi de transférer l’agent accompagnateur du véhicule vers l’extérieur permettant d’assurer la sécurité globale du parcours.

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De nouvelles navettes autonomes sur le réseau TCL

Source: ENVISCOPE VIP | 12 novembre 2018

Le projet européen AVENUE (Autonomous Vehicles to Evolve to New Urban Experience) a pour objectif de préparer l’intégration technique, législative et économique des véhicules autonomes dans l’espace urbain et périurbain. Il ambitionne de faire de l’Europe, le leader mondial de la navette autonome.

Lyon, ville pilote, sera prochainement dotée de nouveaux véhicules pour mener une nouvelle expérimentation grandeur nature de mobilité autonome en milieu urbain.

Le projet s’inscrit dans une longue tradition d’innovations. Ainsi, de nombreux systèmes et technologies se développent depuis des années sur le territoire de l’agglomération Lyonnaise: le premier funiculaire en 1862, le premier métro automatique à grand gabarit en 1991.

Développée en complément des lignes traditionnelles afin de mailler plus fi- nement le réseau de transports de l’agglomération, cette innovation lyonnaise suscite un vif intérêt. Près de 300 délégations sont venues de partout dans le monde pour découvrir cette nouvelle solution de mobilité, qui depuis le lance- ment de l’expérience, a accueilli plus de 40 000 voyageurs.

Dans le cadre du projet AVENUE, dès le printemps 2019, deux nouvelles navettes Navya viendront compléter le parc du SYTRAL. Pleinement intégrés au réseau TCL, les véhicules contribueront à une expérimentation entre l’arrêt de T3 Décines Grand Large et le Groupama Stadium. La circulation sur la voirie aux côtés des voitures, le franchissement d’un carrefour à feux tricolores et de ronds-points, constituent un véritable challenge pour le SYTRAL et Keolis Lyon, délégataire du réseau TCL et partenaire du projet. Cette solution permet de répondre aux enjeux de la desserte du dernier kilomètre.

Lyon accueille une nouvelle expérimentation de navette autonome

Source: Bus & Car Connexion | 8 novembre 2018

Route ouverte. La ville de Lyon va installer une desserte régulière en navette autonome du constructeur Navya entre le stade de l’OL et l’arrêt de tramway le plus proche, à l’est de l’agglomération. Dès le mois de mars, deux navettes Navly seront noyées au milieu du flot de circulation. «Le trajet long de 1,2 kilomètre implique notamment de franchir un carre- four et des feux tricolores», précise Fouziya Bouzerda, présidente du Sytral. Une difficulté supplémentaire par rapport à l’expérimentation de ces véhicules en cours dans le quartier de la Confluence. Toutefois, la navette ne circulera pas les soirs de match, elle sera disponible uniquement en journée pour parcourir le fameux «dernier kilomètre» entre la zone d’activité bordant le stade et la station de tramway.

Fonctionnalités supplémentaires. De nouvelles fonctionnalités devraient être ajoutées aux navettes du constructeur Lyonnais. «Nous souhaitons accélérer la vitesse pour atteindre environ 25 km/h et inclure des services de transport à la demande, afin notamment de pouvoir caler les départs des navettes avec l’arrivée du tramway», explique Pascal Jacquesson, directeur général de Keolis Lyon, partenaire du projet. Avent d’être déployées dans les navettes, ces innovations seront testées en conditions réelle sur le site de Transpolis, dans l’Ain, équipé pour faire des simulations de déplacement. Cette expérimentation Lyonnaise s’inscrit dans le cadre du projet européen AVENUE visant à optimiser la technologie et le business modèle des navettes autonomes dans l’espace urbain. Genève, Luxembourg et Copenhague, également retenus comme sites pilotes de ce projet accueilleront elles aussi des expérimentations de trajets en navettes autonomes.

Deux nouvelles navettes Navya bientôt en service à Décines

Source: Bref Eco Matin | 9 novembre 2018

Le Sytral va recevoir des fonds européens pour pousser plus loin l’expérimentation de navette autonome commencée en 2016 à Confluence. Deux nouvelles navettes seront positionnées à Décines. Elles devront cette fois-ci s’insérer dans la circulation.

Le constructeur de navettes autonomes villeurbannais Navya et la société gestionnaire des transports en communs lyonnais pour le compte du Sytral, Keolis, vont approfondir le partenariat qu’ils ont mis en place en 2016 à travers la société Navly pour le test d’une navette automatique sur les docks de Lyon Confluence. Lyon et le Sytral ont été sélectionnés par le projet européen AVENUE (Autonomous Vehicles To Evolve to New Urban Experience) qui a pour objectif de préparer l’intégration technique, législative et économique des véhicules autonomes dans l’espace urbain.

Un budget de 20 millions d’euros sur quatre ans est mis à disposition de seize partenaires dans sept pays. Quatre villes vont bénéficier de na- vettes autonomes : Copenhague, Luxembourg, Genève et Lyon.

Circuler à 25 km/h et franchir les carrefours

Keolis et le Sytral ont choisi d’implanter deux navettes entre le terminus du tramway T3 et le Parc OL qui circuleront en journée (hors période de match donc) sur un itinéraire de 1,2 km. Il s’agit d’une véritable évolu- tion dans l’expérimentation par rap- port à la navette de Confluence car ici, les navettes seront insérées dans la circulation. Ce qui signifie qu’elles circuleront beaucoup plus vite : 25 km/h au lieu de 8 km/h (section à piétons) ou 15 km/h (section à voitures). Et qu’elles devront s’affranchir d’obstacles complexes, à savoir ronds-points et carrefours à feux tricolores. Leur mise en place devrait intervenir au printemps 2019, après une phase de test sur la plateforme Transpolis.

Vers une autonomie totale

Deux autres nouveautés vont paral- lèlement être testées. A Décines, les utilisateurs pourront expérimenter un système « à la demande » sur la dernière partie du trajet pour choisir leur point de chute. A Confluence, l’accompagnateur actuellement pré- sent dans la navette va prochainement rester au point de départ ou d’arrivée et surveiller le véhicule à distance. Le contournement automa- tique d’obstacles sera également mis en œuvre.

Dans quatre ans, le projet AVENUE entend valider la conduite autonome sans chauffeur et tirer un bilan socioéconomique et environnemental de ce test. 

Deux navettes sans pilote bientôt au Parc OL

Source: 20 Minutes | 9 novembre 2018

Expérimentation: Lyon est ville test pour le projet qui veut intégrer des navettes autonomes en ville

Elle a été la première ville au monde à tester les navettes autonomes. Lyon poursuit l’expérience. Elle vient d’être désignée ville pilote du projet européen Avenue, qui a pour but de « préparer l’intégration » de ces véhicules dans les métropoles de demain.

Destination à la demande

Deux nouvelles navettes seront mises en circulation au printemps prochain afin de relier l’arrêt Décines Grand Large du tramway T3 au Parc OL. Soit 1,2 kilomètre que les usagers des TCL parcourent souvent à pied, faute d’être déposé au pied du stade. Utilisées comme «moyen de transport complémentaire aux solutions existantes», ces deux navettes circuleront quotidiennement jusqu’à 20 heures et à 25 kilomètres/heure, mais ne seront jamais mises en service les soirs de match. La société Navya qui les déploiera entend ainsi profiter de l’expérimentation pour améliorer ses véhicules. Les engins circuleront cette fois sur la voirie au côté des voitures, contrairement à la navette de Confluence. Ils franchiront un carrefour à feux tricolores et des ronds-points. «On a encore beaucoup de progrès à faire pour améliorer le confort et la vitesse», précise Jérôme Rigaud, directeur général délégué de Navya.

Et d’indiquer que les voyageurs pour- ront choisir leur destination en de- mandant de se rendre à l’hôtel ou au Grand Stade.

Trois autres villes: Genève, Luxem-bourg et Copenhague font partie du projet Avenue. Elles aussi vont tester les navettes autonomes dans des configurations différentes et des distances variées pour mesurer leur réaction. La durée de l’expérimentation n’a pas été arrêtée. «La seule façon de pouvoir avancer le plus vite possible, c’est de faire des tests et faire évoluer le véhicule», conclut Jérôme Rigaud.